Les XIXe & XXe siècles

 

Origine du Parc Fourchon.

Les Écoles.

Morts pour la France

 

Origine du Parc Fourchon

Le 15 mars 1839, Philippe BOUDEVILLE, Directeur de la Compagnie des Indes, demeurant à Paris et propriétaire du Parc, meurt en léguant sa fortune à Philippe Fourchon qui décède le 19 décembre 1877. Il laisse un fils Maximilien. Maximilien Fourchon, célibataire, secrétaire d’ambassade, meurt à Constantinople, le 25 août 1879, il avait 34 ans.
Sa mère, Louise LAURENT, épouse FOURCHON, habitait 2, rue de l’Église. Elle hérite du Parc qu’elle vend le 17 août 1883 à Pierre TALAMON, négociant (pour 300 000 francs de l’époque).
Le 14 août 1884, Maître MENAGER, notaire à Sèvres, dresse le cahier des charges pour le “ lotissement du Parc Fourchon ”. Les portions de terrain et deux maisons sont à vendre.
Les “ droits et servitudes ”qui régissent le Parc comportent alors 11 rubriques. D’autres seront ajoutées en 1900, lors des premières parcelles vendues et de leurs constructions, comme par exemple : “ Le commerce n’est autorisé que sur les rues qui bordent le Parc ”.
En 1884, des rues avaient été tracées, à travers la propriété par les TALAMON. Ils souhaitaient les rendre à la commune, à charge pour elle de les “ entretenir en bon état de viabilité ”.
Le conseil municipal réuni le 10 avril 1884 décide que l’entretien des rues incombe aux TALAMON jusqu’au 1er janvier 1890. Le conseil adopte, le même jour, le nom des nouvelles voies : Avenues Louvois, Michel Le Tellier, Sully, Torcy, Talamon, Lazare Hoche, Ernest Cadet.
Monsieur TALAMON prévoyant un éventuel dédie de la commune après 1890, ajoute un article au cahier des charges : “ Lesdites rues devront toujours être maintenues en bon état de viabilité et d’entretien entre tous lesdits adjudicateurs ou acquéreurs, proportionnellement à la surface de leurs lots ”.
En 1892, le Maire de Chaville informe alors Monsieur TALAMON que, par une délibération, du 13 mars, approuvée par le Préfet, le conseil a décidé de “ refuser de prendre les routes ”. Ainsi, ce sont toujours aujourd’hui ces règles qui régissent le Parc Fourchon, lui donnant son autonomie au regard de la commune.

D’après un acte de vente
d’un terrain acheté en 1900.

 

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Les Écoles

1. Avant 1886
2. Écoles primaires publiques
3. Écoles maternelles publiques
4. Écoles privées
5. Enseignement secondaire
6. Crèches

 

1. Avant 1886

Époque Le Tellier : le chancelier fonde un hospice dirigé par les sœurs de Charité ; une des sœur est chargée de l’instruction des filles.

Avant 1790 : le vicaire de la paroisse est chargé de donner quelques notions d’enseignement primaire. Une délibération de la Municipalité en date du 1er avril 1790 fait savoir que l’abbé Salle “ fait mal ” l’école, et le blâme. Mais il enseigne jusqu’en 1794.

Après 1794 : l’abbé Salle est remplacé par un certain Chaumart “ autorisé à enseigner les enfants mâles de la commune ”. Il disparut et n’eut pas de successeur.

En 1803, il n’y a plus d’école primaire à Chaville. La commune est trop pauvre “ pour loger un instituteur ”.

En 1817, Monsieur Duvignal “ tenait une école ”. Suite à son décès, il est remplacé, en mars de la même année par Monsieur Castiou.

En 1822, Monsieur Delarche s’installe comme instituteur privé. Sa femme prend la direction de l’école des filles. La “ municipalité se loue de la bonne tenue des écoles. ”

La loi de 1833 sur l’instruction primaire obligeant les communes à pourvoir au logement de l’instituteur, la Ville, dans l’impossibilité “ d’acquérir ou de faire construire une maison d’école ” loue celle qu’occupent Monsieur et Madame Delarche.
Cette loi fait de Monsieur et Madame Delarche des instituteurs communaux. L’école des garçons sera maintenue dans la maison Delarche jusqu’à ce que Monsieur Delarche cesse d’exercer ses fonctions d’instituteur en 1840. Elle sera alors transférée au 83 de la Grande Rue et y restera jusqu’en 1847, date de l’achèvement des premières écoles communales construites par l’architecte Blondel à une cinquantaine de mètres de la Mairie, auprès de l’asile communal*. Quant à Madame Delarche, son école de filles, toujours dans sa maison redevient le 1er janvier 1846 une école privée ; mais le 5 décembre 1847, le Conseil municipal vote à forte majorité, le rétablissement de l’école communale.
Madame Delarche redevient institutrice communale jusqu’en 1849. École de garçons et école de filles resteront dans ces lieux jusqu’à la construction des nouvelles écoles jumelles, garçons et filles, au lieu dit “ Le Marais ” qui prendront, en 1922, le nom d’École “ Paul Bert ”.

* asile communal = école primaire.
La Mairie se situait, comme cette école, à l’emplacement actuel de l’Atrium et de la Brasserie.

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2. Écoles primaires publiques

Paul Bert : 1495 - 1563, avenue Roger Salengro Construit au lieu dit “ Le Marais  par l’architecte Grandjacquet, le groupe scolaire fut inauguré en août 1886. Il comprenait une école de garçons et une école de filles, bâties sur un étage avec un préau et un cour, pour 137 élèves. Dès 1895, il fallut créer une nouvelle classe de filles dans le préau. En 1903, fut érigée et inaugurée une statue du Colonel Gillon*.
En 1930, l’école devra être surélevée, au détriment des toitures des ailes et de la statue du Colonel.
L’école s’est appelée “ école Paul Bert** ” à partir de 1922. En 1954, un nouveau bâtiment donnant sur la rue de Stalingrad sera construit et recevra jusqu’en 1971, deux classes de CET (collège d’enseignement technique) du collège Jean Moulin en même temps que des élèves de l’école primaire. Un bâtiment pour la restauration scolaire réunira au fond de la cour ancien et nouveau bâtiments.

* Colonel Gillon : Il commandait le 200ème régiment à Madagascar lors de la campagne de 1895. La statue est dédiée à ce Chavillois mais aussi aux morts de la campagne.
** Paul Bert : Homme politique, né à Auxerre (1833-1886). Il fut ministre de l'instruction publique, résident général en Annam et au Tonkin.

 

Ferdinand Buisson*** : 273 - 325, avenue Roger Salengro
La construction est commencée en 1936, l’école ouvrira ses portes en 1938. Pendant la Guerre, les Allemands installent un atelier de réparation militaire, sans doute pour des radars ou pour l’amélioration des V1, dans l’aile gauche du bâtiment. Avant la libération, ils la feront sauter ; l’école est à moitié démolie.
Après réparation, elle reçoit douze classes au premier étage. En 1968 le projet de surélévation de deux étages est rejeté par l’Académie, en raison du nombre trop important de classes prévues.
Dans les vastes préaux couverts du rez-de-chaussée, cinq classes maternelles s’installent de 1971 à 1978.

*** Ferdinand Buisson : Pédagogue, né à Paris (1841-1932, collaborateur de Jules Ferry, l'un des fondateurs de la ligue des Droits de l'Homme - Prix Nobel.

 

Anatole France**** : 3, rue Saint Paul
Inaugurée le 14 octobre 1967, elle a été construite sur l’emplacement du troisième château de Chaville (Château Saint Paul) pour 18 classes primaires.
Des difficultés inattendues ont dû être surmontées lors de la construction :

• fondations coûteuses du fait de la présence de galeries souterraines et
• construction indispensable d’un mur de soutènement de la route.

**** Anatole France : écrivain, académicien, né à Paris (1844-1924) - Prix Nobel en 1921. Parmi ses œuvres : Le Crime de Sylvestre Bonnaud ; Le lys rouge.

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3. Écoles maternelles publiques

Les Capucines : 921, avenue Roger Salengro (autrefois 67 Grande Rue)
Construit en 1840, inauguré en 1841, le bâtiment était appelé “ asile communal ”. Il servit d’école maternelle dite “ salle d’asile ” avec 41 élèves et de bibliothèque. Madame Micoud sera la première directrice.
L’école est reconstruite de 1907 à 1921. La majeure partie des bâtiments date de 1911. L’inauguration sera retardée par l’explosion du cuirassé Liberté à Toulon le 23 septembre 1911. Elle s’appellera dès lors “ Capucines ”.
Vingt ans plus tard, le bâtiment sur cour est prolongé par un immeuble sur deux niveaux.
Un projet de “ labo-photo ” avait été lancé en 1979 mais il n’aboutit pas.
Désaffectée, suite à la création d’une nouvelle école “ Les Pâquerettes ”, elle est utilisée à partir de 1978 comme centre de loisirs et de réunions d’associations.
Elle sera démolie lors de la rénovation du quartier en 1989-91 (opération Fontaine Henri IV).

Les Pâquerettes : 2, rue des Blanchisseurs
Mise en service en 1978, elle compte 8 classes et récupère alors les enfants venant de l’école des Capucines désaffectée (dans un premier projet, elle avait été baptisée “ Les Glycines ” puis également “ Les Géraniums ”).

Le Muguet : 2, rue du Colonel Marchand
Construite de 1957 à 1960, elle était conçue pour 4 classes mais dès 1975, il fallut prévoir une extension à 6 classes et en 1978 à 8 classes.

Les Iris : 3, rue Saint Paul
Construite en même temps que l’école Anatole France en 1967, elle lui est contiguë et compte 4 classes lors de l’ouverture.

Les Jacinthes : 47, avenue de la Résistance
Elle est mise en service avec 4 classes en septembre 1972. Sur la pelouse, le sculpteur Victor Douek a réalisé un bas relief représentant une ronde d’enfants, frimousses ravies et cheveux au vent.

Les Myosotis : 261, avenue Roger Salengro
Dernière née des écoles maternelles de Chaville, elle recevra ses premiers élèves en 1978 sur le terrain du parc des Sœurs de Saint Vincent de Paul, acquis par la ville en 1975 dans un beau cadre de verdure. Elle comporte 6 classes.

Les Anémones
Une dernière école maternelle n’a jamais vu le jour, elle devait être construite Rue Alexis Maneyrol.

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4. Écoles privées

École familiale : 18, rue du Pavé des Gardes
En 1943, Louis Gérard crée une école primaire installée d’abord 7, rue des Petits Bois. Plus tard, il s’installera dans la Villa des Assomptionnistes, rue du Pavé des Gardes. En 1985, il crée un cours secondaire.

École Notre Dame : 35, rue de l’Église (actuellement Rue Anatole France)
Une petite école libre, payante est crée sous la direction de Mademoiselle Bidault, avec 25 élèves. (elle existe en 1913, mais quelle est sa date de création ?)
Elle sera désaffectée en 1966, sera utilisée, un temps, comme conservatoire de musique puis abritera le sculpteur Boyan dans une des grandes classes jusqu’en 1971 (date de sa destruction suite à la rénovation du quartier).

École : Avenue Talamon - Cours Walter ?

Cours Jeanne d’Arc : 3, avenue de Louvois
Pendant un quart de siècle, le cours a accueilli près d’un millier de petits Chavillois. Il a été ouvert en octobre 1922 par Mademoiselle Boudet à son domicile, avec 7 inscriptions, mais l’effectif a augmenté très rapidement.
Il comptait une classe enfantine où étaient admis garçons et filles et des classes primaires réservées aux seules filles. Le cours a cessé son activité en juillet 1947.

Saint Thomas de Villeneuve : 1646, avenue Roger Salengro
En 1856, le comte d’Erceville donne la propriété aux sœurs de Saint Thomas de Villeneuve, après le refus du conseil municipal d’accepter d’y établir une école de filles dont l’instruction et l’éducation seraient confiées à des congréganistes. Les sœurs créent un orphelinat, une école libre de jeunes filles et une salle d’asile (école primaire).
En 1905, lors de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’asile est fermé, l’orphelinat demeure mais les sœurs n’étant plus autorisées à enseigner, les jeunes filles vont à l’école publique. A la fin de la Seconde guerre mondiale, les classes sont de nouveau ouvertes et en 1984 le lycée devient mixte et les professeurs laïques.

Curiosités
Un guide de Chaville (n° 1) édité par l’Agence Dubois, 19 rue de l’Église en 1913 signale :

Page 20 - “ En outre de l’école communale, les parents trouveront des professeurs dévoués dans plusieurs écoles privées :

• École libre de jeunes filles - 78, Grande rue
• Institut normal - 35, rue de l’Eglise
• Institut de jeunes enfants - Sente Castel
• Pour les jeunes gens, un professeur de lycée, " agrégé de l’université ", prépare aux baccalauréats mathématiques, philosophie etc…en conformité du programme des lycées, pensionnat et externat ”

Page 21 - “ La Pomponette ” Établissement pour jeunes enfants de 2 à 6 ans dirigée par Mesdames Lacour et Jucker.
Soins maternels visite médicale hebdomadaire
Grand jardin, promenade en forêt
Villa Collette - Avenue de Torcy, à Chaville (prospectus sr demande)

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5. Enseignement secondaire

Collège Jean Moulin* : 8, avenue Sainte Marie
En 1959, avenue de la Résistance, une école dite “ industrialisée ”sera construite : le CEG (collège d’enseignement général). À la rentrée 1968, il sera complété par un bâtiment édifié avenue Sainte Marie. En béton armé, ossature métallique et toiture d’aluminium ce sera le collège d’enseignement secondaire (CES). Deux classes de CET (collège d’enseignement technique) seront hébergées à l’école Paul Bert jusqu’en 1971. Démoli en 2001, le collège est actuellement en reconstruction (Avenue Sainte Marie).

* Jean Moulin : (1899 - 1943) administrateur, une des grandes figures de la Résistance. Préfet de Chartres en 1939. Arrêté par les Allemands en juin 1943, il mourut en déportation.

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6. Les crèches

Crèches collectives
Elles sont organisées pour les enfants de 10 semaines à 3 ans dont les parents travaillent à temps plein.

Les Chênes : 3, rue du Gros chêne, peut recevoir 50 enfants
Les Noisetiers : 2, rue Stalingrad, a une capacité de 60 enfants
Marivel : 141, Grande Rue à Sèvres, ouverte depuis septembre 2000, elle accueille 20 enfants de Chaville et 20 de Sèvres.

Crèche familiale : 3, rue du Gros chêne
Les assistantes maternelles accueillent les enfants de 10 semaines à 3 ans à leur domicile et se retrouvent une fois par semaine au jardin d’éveil.

La Halte Garderie : 1, rue de la Fontaine Henri IV
Elle accueille de façon occasionnelle les enfants de 3 mois à 4 ans. La capacité est de 20 enfants par demi-journées, permettant ainsi aux parents d’effectuer démarches, courses ou de se détendre un peu.

Le Jardin d’enfants : 2, rue du Colonel Marchand
Il a ouvert le 9 mars 1993 et accueille 30 enfants de 2 à 3 ans dont les parents travaillent.

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 Morts pour la France

1.Morts 1914/1918.
2.Morts 1939/1945 et prisonniers morts en captivité.
3.Déportés, fusillés, F.F.I, F.T.P."morts pour la France".
4.Victimes civiles.
5.Morts en Indochine et Algérie.

Morts 1914/1918

1 ALLERON Théodat

43 DADA Charles

2 AMGELETTI Toussaint

44 DARCY Georges

3 AVELINE Marius

45 BEBLE Eugène

4 BAILLON Tristan

46 DECHELLE Georges

5 BARRAUD Maurice

47 DECHELLE Gaston

6 BASTET Désiré

48 DELSART Albert

7 BAUDOIN Pierre

49 DESBRUERES Gaëtan

8 BEGNON Constant

50 DESCOSSE Paul

9 BELLOCHE Eugène

51 DOURY Jules

10 BENARD Raymond

52 DROUIN Henri

11 BERLET Charles

53 DUBOSQ Paul

12 BIGOT Marcel Joseph

54 DUCHESNAY Victor

13 BIGOT Georges

55 DUGAT

14 BLART Alfred

56 DULU Emile

15 BLETIOT Jean

57 DUMASFAURE Julien

16 BLONDEAU Eugène

58 DUPONT Alfred

17 BOBOT François

59 DUPUIS Léon

18 BOSQUET Henri

60 DURAIN Octave

19 BOTTHIAS Louis

61 DURECU Etienne

20 BONNEAU Maurice

62 ECHIVARD Georges

21 BOUCHER Emilien

63 ESLINGER Ernest

22 BOUCHOU Edouard

64 FAVRE Fernand

23 BOUIGES Paul

65 FILLION André

24 BOURBON Louis

66 FONTAINE Georges

25 BOURDIN Constant

67 FONTAINE Henri

26 BOUROT Louis

68 FOUGERE Raoul

27 BOUVIER Modeste

69 GAINETTE Emile

28 BROSSARD Louis

70 GALOT René

29 BUSSERY Marcel

71 GAMBS Joseph

30 CAVANNE Auguste

72 GARNIER Etienne

31 CHAUVEL Jean

73 GAUMONDY Jules

32 CHOPLAIN Isidore

74 GENEVIEVE Edmond

33 CLAUS André

75 GENTIL Louis Alfred

34 COATANTIEC Théophile

76 GENTIL Louis Joseph

35 COATANTIEC Emmanuel

77 GIZON Mare

36 COMTE Henri

78 GONDEAU Isidore

37 COMTE Louis

79 GOUSTILLE Auguste

38 COQUARD Paul

80 GRANDIN Eugène

39 CORDA Eugène

81 GRANGEAN André

40 COUVRAN Florentin

82 GREGOIRE Roger

41 COURGIBET Victor

83 GUERIN Edmond

42 COURGIBET Louis

84 GUERRE Georges

85 GUERRIER Omer

           134 MASSA Roger

86 GUIBERT Gustave

           135 MAUBERT Philippe

87 GUICHARD Charles

           136 METIVIER Aimable

88 GUILLAIS Auguste

           137 MOGNO Jean

89 GUINCESTRE Jules

          138 MONGUILLON Edouard

90 GUIRBERT Frédéric

          139 MOUGINOT Paul

91 GUYON Albert

          140 MOULIN André

92 HARFAULT Joseph

          141 MOZET Louis

93 HEBRARD Narcisse

          142 NAUDIN André

94 HERKOWITZ Lucien

          143 NETZER Robert

95 HERVE Albert

          144 NETZER Alexandre

96 HOURGADE dit LAMARQUE Lucien

          145 NOUAL Julien

97 HUVE Charles

          146 OBERLE Lucien

98 JANOVET Eugène

          147 OLIVIER Eugène

99 HELIOT Eugène

          148 ODOUL Jean

100 JEGOU Maurice

          149 PASQUIER Emile

101 JOUAN Louis

                         150 PEILLON Auguste

102 JUBE Hilaire

          151 PERDUCAT Marcel

103 JUISHOMME Léon

          152 PERROIS Pierre

104 JUVIGNY Henri

          153 PERROT Louis

105 JUVIGNY Eugène

          154 POPOT Edouard

106 LACHEVER Yves

          155 PIQUET Léon

107 LALLEMANT Henri

          156 PETIT Alfred

108 LANY Louis

          157 PETIT Anatole

109 LANGLOIS Eugéno

          158 PREAU Georges

110 LAPEYRE Paul

          159 PRIVAT Robert

111 LARIVE Marcel

          160 PROTIN Armand

112 LAUNAY Julien

          161 POUSSIN Charles

113 LAVENANT Louis

          162 QUETTIER François

114 LECOT Léon

          163 RAPHANEAU Eugène

115 LECOT Cyrille

          164 RAULT Albert

116 LE FEVRE François

          165 RECHIN Achille

117 LEFORT Maurice

          166 RICHEZ Paul

118 LE FUR Indovic

          167 RISPAL Joseph

119 LEULEU Paul

          168 ROGER Gaston

120 LE MOAL Gilles

          169 ROGER Marcel

121 LE MOAL Jean

          170 ROUCHEUX Fernand

122 LE PENNEC Julien

          171 SALOMON Jean-Marie

123 LE ROUX Pierre

          172 SAMOUEL Armand

124 LESEILLER Eloi

          173 SAUGE Louis

125 LIENARD Charles

          174 SECRET Henri

126 LOISEAU Gustave

          175 SERGENT Ernest

127 LOISON Emile

          176 SUSH Aloïs

128 LORIN Edouard

          177 SEVESTRE Pierre

129 MADELAINE Etienne

          178 SOUDIEUX Emile

130 MAIGNANT Marcel

          179 SOULAS Charles

131 MAILLARD Emile

          180 STREIFF Emile

132 MAILLE Louis

          181 SUET Paul

133 MAURLAZ Paul                          182 TACY Eugène
                    
183 THIEME Jules                          184 TORAVELE Louis
185 TORAVELE Edouard                         186 TREUVELOT Eugène
187 TRIAUX Victor                         188 VARLOFF Edmond
189 VIGNAU Pierre                          190 VINCENT Lucien
191 VIRET Henri                           192 VITCOQ Maurice
 193 VOISINE Gaston                         194 ZBINDEN Albert
 

Morts 1939/1945 et prisonniers morts en captivités.

ARSALIAN Manouk  LECOZ Joseph                 
AVEDIAN Georges LE MAGNEN André                  
AVIGNON Marcel LINDRON Amédée
BAILLY Robert LOBSTEIN Amédée
BEZIAT Henri MACE Joseph
BOUMC'H Paul MICHEL Denis
BOURDEAU Roger MOGIA Nito
BOUTON Marcel  MONGUILLON Léon

CAVALI Jérôme

MORVAN Mathieu                

CHAUME Henri OUVRARD Brice
CHEVOLLEAU Victor PANNAS Pierre                  
COIFFIER Lucien PIERRE Robert                 
CONNAN Roger PLISSON André                

DANGUERGER René

PREVOST Marcel                

DEMOL François  PURAVET Geoges                  
DENIS Marcel RABASSE Charles                 
DENIS Fernand  RAPHANEAU Maurice                
DESLANDES Maurice RIOU Albert                
FAIST Alfred  RIVIERO André                 
FRAPPIER Pierre  ROCH-MAILLARD Jean                 
FRONTIN Jean SAGNIER Pierre               
GAUTIER Albert SENECHAL Louis               

GONDOUX Jean

SIMON Roger                

GUERN Jean

TELLIER Robert                

HEMERY Jacques  TOSONI René                  
JACQUEMET Gabriel VALIN Joseph                 
JEGO Paul  VASSEUR Fernand                
KERAUTRET Marcel VERRON Eugène               

LEBRUN Roger

VIOT Robert               

 

Déportés, fusillés, F.F.I, F.T.P, "morts pour la France".

AUDONNET Robert  GIRARD Louis
AUPEE Marcel  GONZALES André
BOUTEILLER Jean  HADOUX Roger
CLODOUNG André  HERY Albert
COLLET Emile  LEMBROUCK Roger
COLLINS Marcel  MARAIS Henri
CUZIN René  OPPICI Roger                 
DELETTRE Eugène  PERETTE Henri                 
DELISSUS Marie-Louis  VANDERSPELDEN Vitor                 
FREEMAN jean VENDOLA Mario               
GARNIER Fernand

                

 

Victimes civiles.

ATANIAN Hrant  LEGRIS Henri
BLONDELET Louis  LEMAN André
BOUDET Bernard  LEMAINE Albert
BOUIGES Elie  LOIN Marie-Louise
BOULON Jean  MALSERVIZI Joseph
CAYOLLE Lucien  PAVIA Mario
CHATEL Eugène POUDEVIGNE Jean
CLAUX Elise PROCOT Raymond
COSTE René  RAYNAUD Fernand
COURAUDON Germaine RINALDI Marius
DECOCK Abel SAQUETOUX Henri
DURAND Georges SASSI Alfred
ETIENNE Madeleine SAUDAGUET Henri
FEVRIER Emile   T ASSE Charles          
FRADET Henri  VERNET Hélène
GANDAIS Raymonde  VERNET Georgette             

HAIZE Zoé

ZANZI Joseph

 

Morts en indochine et en Algérie

Indochine

                  
BANO Paul  HARDOUIN Roger                
CLAVIER André PAGNARD Guy                
COLETTE Charles POIRIER Raymond               

Algerie

                

BEAULIEU Pierre MENDRET Jean                  
BOUTOUYRIE Yves PAGNY Jean-Pierre                 
CHASSELOUP Roland RIQUIER Jacques                
DEMAY Robert SHU TE PING Claude                

FERON Guy Henri

SUPERNANT Georges